Sud-Kivu:Dégradation des routes urbaines et rurales, la NDSCI interpelle le gouvernement congolais
L’état déplorable des différents tronçons routiers de la province du Sud-Kivu à l’Est de la République démocratique du Congo fait encore débat au sein de la société.
La Nouvelle Dynamique de la société civile du Sud-Kivu (NDSCI) plaide pour la réhabilitation des routes dans la ville de Bukavu et dans différents territoires de la province.
La NDSCI fait savoir que plusieurs tronçons routiers en province sont en état de délabrement très avancé et nécessite l’implication des autorités à tous les niveaux pour que la population souffle un vent nouveau.
« C’est le cas du tronçon place- industriel jusqu’à Cimpunda où l’on retrouve des nids de poules. De même le tronçon routier place de l’indépendance – Lycée wima jusqu’à Ciriri où le véhicule ont du mal à traverser surtout à l’endroit communément appelé appelé Yesu-yesu en plus le tronçon place de l’indépendance – jusqu’à à Bagira où l’on peut également rencontrer des nids des poules et même la route allant vers MAENDELEO , quartier D jusqu’à cikera et à kabare. On y ajoute également la partie kasha où presque toutes les routes sont en état de délabrement très avancé on cite par exemple la route Bralima Mushekere – kamogola – jusqu’à kabare, la route Pharmakina Kahero » lit-on dans une dépêche signée par Wilfried Habamungu Mweze, Porte-parole provincial adjoint NDSCI- SK.
Les routes de dessertes agricoles figurent sur la liste des routes en décoration a n’ont pas été épargné par cette analyse de la ndsci qui cite certaines voies routières de de Walungu, Shabunda, Kabare,…
Dans les territoires on remarque aussi « plusieurs routes nationales qui sont également en étant de délabrement très avancé. C’est le cas de la route nationale numéro 2 jusqu’à Shabunda où Ilya souvent des accidents à répétition. D’autres parts la route nationale numéro 2 et la nationale numéro 5 sont également en état de délabrement très avancé. La NDSCI craint que pendant la saison des pluies, plusieurs accidents ne soient enregistrés (accidents de circulation routière et même des inondations causées par les caniveaux déjà bouchées) » poursuit la note.
Rédaction